Ils ne sont pas nombreux les clubs de moto ici, moins que les agences de locations en tous les cas.
J’ai d’abord rencontré des membre d’un premier club, la discussion est difficile car aucun ne parle anglais. Ils veulent m’aider en tous les cas et peut-être rouler un petit peu.
Quelques jours plus tard je rencontre le manageur de l’Eco Moto Club, je me retrouve à faire de tir à l’arbalète, puis un interview. Le courant passe tout de suite et je pense que c’est une bonne chose pour lancer des projets. Je tombe malade cette semaine là. On avait prévu de partir à un monastère dans la semaine, juste à deux pour l’échauffement mais je serai pas en condition. Le samedi d’après, même si le moment était un peu précoce je n’ai pas pu refuser l’invitation. Offroad et tourisme, direction le parc national de Gorkhi Terelj avec les gars du club en enduro. J’invite des amis qui s’ennuient à l’Oasis et nous voilà parti pour une belle journée. De quoi prouver que la Transalp peut tenir derrière des enduristes à conditions d’être un peu nerveux tout de même.