En stop, pour découvrir le parc d’Etosha

Le problème pour la suite du voyage, est que les motos ne sont pas autorisé dans la plupart des parc. Ce sera le cas dans beaucoup de pays que je compte découvrir bientôt mais rien n’est impossible.

La piste pour la frontière de Ruacana a été plus difficile qu’anticipé mais j’ai réussi à atteindre la frontière à temps pour ne pas avoir de supplément à payer pour pouvoir sortir de l’Angola. Puis en Namibie j’ai eu le droit à trois mois de visas gratuitement et simplement en remplissant un formulaire. Ca fait du bien un peu de simplicité !

La piste s’est transformée en route après la frontière, mais il était un peu tard. J’ai fini par m’installer entre deux champs pas loin de quelques habitations. Puis j’ai discuté avec quelques amis. Généralement; j’évite de m’arrêter après une frontière, mais ça semblait sur. L’un de mes amis namibiens m’invite à ne pas faire trop de camping sauvage à cause des lions qui vivent un peu partout ici. Puis ensuite c’est une autre amie qui m’indique qu’il y a eu des vols et attaques aux couteaux de voyageurs dans le coin.

Mais ma tente est déjà posé, je suis allongé, j’ai été très discret et seul les habitants des maisons au alentour ou découvert mon campement en rentrant à leur maison. Un chien abois, il y a de la musique qui sort des enceintes du bar non loin d’ici. Je doute fort que des lions viennent s’aventurer dans le coin.

Je dormirais bien, avant de prendre la route pour les chutes de Ruacana, presque complètement asséché. Ca doit être impressionnant quand il y a de l’eau par contre. Je continuerais mon chemin pour arrivé à l’entrée ouest du parc d’Etosha. Je décide de m’arrêter au camping. C’est un peu cher mais il y a un point d’eau qui me permettra de voir quelques animaux.

Je venais de payer le camping quand une voiture de location est arrivé. Un couple d’allemand qui profitent de la Namibie pendant un petit mois. Dans la discussion, je comprends qu’ils comptent passer le lendemain dans le parc et revenir ici ensuite. Du coup cinq minutes plus tard, je leur demande s’il accepterait un inconnu dans leur véhicule.

La douche ici fonctionne au feu de bois, j’ai un peu de mal à l’allumer mais je trouve finalement. Mes amis allemands m’ont donné quelques morceaux pour faire le feu. Le soir, juste avant que le soleil se couche, nous avons pu observer deux girafes et quelques zèbres aux abords du point d’eau.

Réveil matinal le lendemain matin, départ pour le safari vers 8h30. Ca change d’être dans une voiture. Au premier point d’eau, un homme dans une des voitures nous montre une direction. Il y a un couple de lions au loin. Ce qui explique pourquoi tous les autres animaux sont de l’autres côtés du point d’eau bien attentif. Il y a des zèbres, des springbots, des gnous, des oryx gazelles, des grands koudous et pleins d’oiseaux. Nous restons là un bon moment, mais les lions sont bien trop loin pour mon appareils photos.

Toutes la journée nous irons de point d’eau en point d’eau. Seul les points d’eau artificiel sont abondant en eau et donc en rencontres. Sur la route nous croisons de temps à autres des girafes, des zèbres et une ou deux fois des éléphants au loin. Sur leur du midi nous sommes à une intersection ou une belle installation est présente. Nous sommes tout prêt des animaux, en hauteur juste au niveau du point d’eau. Trois éléphants restent immobile au loin pendant une bonne heure. Sur certains points d’eau il y a aussi des vautours et d’autres volatiles que mes amis allemands apprécient particulièrement.

La fin de journée se termine simplement, arrivé au camping, je remets mes affaires sur la moto direction Kamanjab. Un camping accueille gratuitement les “overlanders” et je vais y rester quelques jours pour me reposer.

Rêve d'Afrique
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